Avant Misato? ou... Après Tomoyo?

Misato n'avait des cheveux ni-longs, ni-courts. Elle n'aimait rien et c'était normal car Misato était une humanoïde. Elle avait un coeur, mais celui-ci ne fonctionnait plus depuis le 5 décembre 2005.

Misato avait la peau très pâle, comme la neige, et des cheveux blanc et luisants. Ses yeux étaient fins et gris. Mais il y avait quelque chose qui n'allait pas chez elle: elle ne sourait jamais. Elle ne semblait ne pas avoir connu le bonheur... Mais c'était faut.

Misato ne parlait jamais à personne... A part à Kaede. La seule chose qu'elle semblait apprecier dans ce monde gris, était le son du piano de sa créatrice. Souvent Kaede lui jouait "la valse d'Amélie" . Misato restait des heures à l'écoutée. Elle ne rêvait pas, mais semblait être attirée par la ville de Paris.

Au début Misato ressemblait à une enfant commençant à découvrir le monde. Mais cette période ne dura pas. Très vite, elle se mit en tête qu'elle avait pour devoir de tuer tout ceux qui l'empêchait de "trouver".

Misato Cherchait, cherchait, cherchait. Mais elle ne savait pas ce qu'elle cherchait.

Pas à pas, Misato "grandissait". Puis elle trouva. Elle trouva ce qu'elle cherchait sans vraiment savoir ce que c'était. Misato cherchait "l'élu". Mais qui était-ce?

Un jour Misato quitta la maison de Kaede et disparut.

A suivre...

C'était il y a 5 ans. Personne n'a rien remarqué sur le coup. Deux semaines sont passé, un nombre inconsidérable de données ont été volées. Les services secrets ne pouvait rien faire, tout était perdu. Ils contactèrent donc, sans vraiment y croire, le laboratoire A.H, quatre membres furent sélectonnés pour réalisé un programme capable de stocké les données restantes avant qu'elles ne soient dérobées à leur tour.

Trois mois passèrent. Sachiko Akuma Hoshii, la prestigieuse fondatrice du laboratoire A.H, ordonna qu'on stoppe les recherches. Ils obeisserent tous sauf... Kaede Kawamira, une jeune surdouée de 16 ans qui eu l'idée d'implenter une puce électronique ultra-puissante permettant un stockage de donnée énorme, dans une personne assez jeune mais... Venant de mourire... Et il se trouve que la personne en question, c'était...

Moi.

Je m'appelle Tomoyo. J'ai 14 ans. Je n'ais rien d'éxtraordinaire... Je suis une fille gentille... Normale, quoi! J'aime tout le monde (enfin presque) et... Hum... Je deteste les maths! Je crois que c'est tout... Enfin... Je crois! J'ai des amis gentils, une famille géniale, une vie magnifique (enfin presque!)...

Mais un jour, tout à basculer.

C'était début decembre. Vers 19 heure. La nuit venait tout juste de tombée. C'était presque un jour comme les autres... Presque, hein! Ce soir là, j'était restée pour les cours du soirs et en allant cherché mes chaussures, j'ai trouvée une drole de lettre dans mon casiers... Celle-ci était signée d'une certaine Kaede et me disait de me rendre au petit parc à 19 heure pétente. Comme c'était sur mon chemain, je m'y suis arretée, et là... Une grande brune à lunettes m'attendais...

- Tomoyo, c'est ça?, me dit elle avec une éxpression que je n'avais encore jamais vu sur le visage de quelqu'un auparavant, Enchantée, je suis Kaede.

-... Alors c'est vous? Mais, que me voulez-vous, au juste?

- Et bien si je t'ais appellée là, c'est... Hum... C'est compliqué..., bafouillat Kaede, C'est pour une affaire très importante. J'ai réellement besoin de ton aide.

- Dites moi ce que je dois faire. J'axcepterais, du moment que ce n'est pas trop compliqué.

-Et bien je voudrais que tu..., Kaede s'arreta. Elle soupira puis repris: Je voudrais que tu ammènes mademoiselle Yuuki. J'ai en tendu dire qu'elle avait beaucoup de problème et qu'elle allait bientôt mourire. Ammène-la moi ici, demain, à la même heure.

-Vous ne lui ferez aucun mal? questionnais-je.

Kaede n'eu pas le temps de répondre. Je senti qu'on me posait quelque chose sur le dos... Comme un pistolet.

J'eu alors un frisson. Un détonnement se fit entendre. Quelque seconde plus tard, j'était écroulée par terre, en sang. Oui, on venait de m'assassiner! Kaede se mit à genoux et me pris sur son dos. La dernière chose que je vus fu le grand chêne du parc... Puis, plus rien. Le vide. Le noir. La mort.

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